1. Les signes urographiques du syndrome de jonction pyélo-urétéral :
a. Le retard de sécrétion
b. La dilatation du bassinet et des calices qui prennent un aspect en boules
c. Le retard d’évacuation du bassinet
d. La réduction de l’épaisseur du parenchyme rénal
e. La terminaison en queue de radie de l’uretère
2. Le type 3 du syndrome de jonction pyélo-urétéral correspond à :
a. Une dilatation isolée des calices
b. Une dilatation isolée du pyélon
c. Une dilatation pyélocalicielle
d. Une dilatation pyélocalicielle et urétérale
e. Une dilatation pyélocalicielle en boule et amincissement du parenchyme rénal
3. Les complications de l’hypertrophie bénigne de la prostate sont:
a. La vessie diverticulaire
b. L’insuffisance rénale
c. La symptomatologie sévère
d. L’augmentation importante du volume prostatique
e. La cancérisation prostatique
4. Le débit urinaire maximal est pathologique s’il est:
a. Inférieur à 10 ml/sec pour un volume uriné de 50 ml
b. Inférieur à 10 ml/sec pour un volume uriné de 100 ml
c. Inférieur à 10 ml/sec pour un volume uriné de 150 ml
d. Inférieur à 10 ml/sec pour un volume uriné de 200 ml
e. Inférieur à 10 ml/sec pour un volume uriné de 250 ml
5. Dans le la tuberculose uro-génitale
Le traitement chirurgical des cavernes consiste en :
a. Une spéléologie
b. Une spéléotomie
c. Une spéléoplastie
d. Une spéléostomie
6. Dans la tuberculose uro-génitale
Le traitement chirurgicale de la petite vessie scléreuse consiste en :
a. Une Cystectomie
b. Une Cystoprostatectomie
c. Une Entérocystoplastie
d. Une Cystostomie
7. Concernant la classification de chatelain :
a. le stade Ic et moin grave que le stade Ib
b. le stade IIc est plus grave que le stade IIb
c. le stade IV correspond à des lésions vasculaires
d. Le stade V est le stade le plus grave
8. Concernant les contusions rénales :
a. Le traitement est toujours chirurgical
b. La néphrectomie est le principal geste à faire en urgence
c. L’abstention, surveillance est l’attitude préconisée dans la majorité des cas
d. L’uro-scanner est l’examen de référence
9. Le germe microbien habituellement rencontré en association avec une lithiase phospho-ammoniaco-magnesienne est :
a. Escherichia coli.
b. Enterocoque.
c. Proteus mirabilis.
d. Providencia.
e. Staphylococcus aureus.
10. La lithotritie extracorporelle (LEC) peut être indiquée :
a. Pour un calcul urétéral < à 5 mm
b. Pour un calcul pyélique < 2 cm.
c. Pour un calcul caliciel < 1,5cm.
d. Pour un calcul pyélique > 2cm.
e. En association avec la nephrolithotomie percutanée (NLPC).
11. Parmi les compositions chimiques des lithiases urinaires chez l’homme, quelle est celle dont la fréquence est la plus élevée ?
a. Oxalate de calcium.
b. Acide urique.
c. Cystine.
d. Médicamenteuses.
e. Phospho-ammoniaco-magnésienne.
12. Les calculs d’acide urique sont :
a. Solubles à PH acide.
b. Solubles à PH alcalin.
c. Radio opaques.
d. Habituellement coralliformes.
e. Radio transparents
13. L’antigène spécifique de la prostate (PSA) est :
a. Un marqueur tumoral du cancer de la prostate.
b. Un outil de dépistage du cancer de la prostate.
c. Secrété essentiellement par la prostate et secondairement par les surrénales.
d. Secrété exclusivement par la prostate.
14. L’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP) :
a. Intéresse la zone de transition de la prostate.
b. Constituée exclusivement d’un tissu glandulaire.
c. Le traitement est essentiellement médical.
d. Peut être associée à un cancer de la prostate dans 10% des cas.
15. Le kyste hydatique du rein (KHR) :
a. Représente la 2ème localisation après celle du foie.
b. Son traitement est exclusivement chirurgical.
c. Le stade IV de Gharbi est pathognomonique du KHR.
d. La colique néphrétique peut être révélatrice d’un KHR.
16. En cas de fracture grave du bassin avec uretrorragie :
a. Il faut mettre une sonde vésicale en urgence
b. Il est préférable de mettre une cystostomie
c. Il faut faire une cystoscopie en urgence
d. Il faut faire faire une débitmètrie en urgence
17. Carcinôme in situ de la vessie se manifeste cliniquement par :
a. Une hématurie macroscopique totale
b. Des douleurs lombaires type colique néphrétique
c. Une symptomatologie plus irritative qu’hématurique
18. Une tumeur de vessie qui n’infiltre pas le muscle est traitée par :
a. Une chimiothérapie systémique
b. Une radiothérapie externe
c. Une résection endoscopique associée ou non des instillations endo-vésicales
d. Une cystectomie radicale d’emblé
19. Une tumeur de vessie infiltrant le muscle chez une femme est traitée par :
a. Radio- chimiothérapie
b. Résection endoscopique
c. Cystectomie totale
d. Pélvectomie antérieure
e. Une amputation abdomino-périnéale
20. L’éctopie testiculaire multiplie le risque de cancer testiculaire :
a. Par 2
b. Par 3
c. Par 10
d. Par 20